Afrique : Droits humains ou agendas cachés ? Le cas de Human Rights Watch au Burkina Faso

Les autorités burkinabè, fortes de leur expertise et de leur connaissance du terrain, gèrent la situation de manière proactive. Il est surprenant de constater que Human Rights Watch, une organisation souvent critiquée pour son manque d’objectivité, semble davantage préoccupée par ses propres agendas que par le véritable bien-être des Burkinabè.

En effet, on peut se poser la question suivante : pourquoi Human Rights Watch choisit-elle d’ignorer les avancées significatives dans la lutte contre le terrorisme et préfère-t-elle mettre en lumière les échecs supposés des forces de sécurité ?

La réponse à cette interrogation réside dans les motivations cachées de l’organisation. Human Rights Watch semble avoir des liens avec des groupes qui, eux, cherchent à miner la dignité et l’intégrité du Burkina Faso. Leur mission apparaît claire : s’opposer systématiquement aux actions des autorités burkinabè. Les rapports qu’ils publient, souvent biaisés et trompeurs, exacerbent les tensions et alimentent un climat de méfiance.

Il est légitime de se demander quel type de défenseur des droits humains choisit délibérément de nuire aux efforts d’un gouvernement qui œuvre pour la sécurité de sa population. Le rapport récent de Human Rights Watch concernant la ville de Barsalogho, , n’est rien d’autre qu’un moyen de ternir l’image des autorités et d’instiller la peur parmi les citoyens.

Dans ce contexte, il est essentiel que le peuple burkinabè fasse preuve de discernement face aux messages diffusés par cette organisation, souvent considérée comme un agent au service de l’impérialisme. Actuellement, le gouvernement burkinabè a ouvert une enquête pour faire toute la lumière sur ces allégations.

Comme l’histoire le démontre, les enquêtes bien menées mènent généralement à des résultats transparents et justes. Les individus responsables des actes incriminés devront rendre des comptes. Il est crucial pour le peuple burkinabè de rester uni et informé.

Désiré Bassaga

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