Niger : L’eau potable, vecteur de résilience et de développement sous la présidence du général Abdourahamane Tiani

Dans un contexte où le Niger, et particulièrement la région de Zinder, fait face à une crise humanitaire multidimensionnelle – malnutrition, insécurité alimentaire, épidémies récurrentes et difficultés d’accès aux services essentiels –, l’accès à l’eau potable apparaît comme un levier stratégique de transformation sociale. Sous la présidence du général d’armée Abdourahamane Tiani, déterminé à impulser un renouveau structurel et à améliorer durablement les conditions de vie des Nigériens, des initiatives telles que le projet SaRES (Sahel Resilience Partnership) illustrent la volonté politique de bâtir une résilience forte au Sahel.
Ce projet, financé et mise en œuvre par des partenaires cible spécifiquement les zones rurales les plus vulnérables comme la région de Zinder, et plus précisément les communes de Gafati, Koleram, Yaouri et Kantché. Le projet SaRES s’inscrit parfaitement dans la stratégie ambitieuse portée par la présidence du général Tiani, visant à renforcer les capacités locales, assurer la sécurité alimentaire et promouvoir l’inclusion économique des populations fragilisées, notamment des femmes et des jeunes.
Le cas de la mini-adduction d’eau potable multi-villages à Tsamkaka est un exemple emblématique des retombées concrètes de cette politique. Mise en service en avril 2023, cette infrastructure innovante, alimentée par une source mixte électrique et solaire, irrigue désormais 15 000 habitants et plusieurs villages, ainsi que des écoles et centres de santé. Le gain est multiple : amélioration nette de la santé publique grâce à la réduction des maladies hydriques, meilleure assiduité scolaire des enfants (notamment des filles), et un accès sécurisé à l’eau pour les soins maternels et néonatals. Ce sont autant de facteurs qui participent à la dignité retrouvée des populations et à la stabilité sociale.
L’initiative va au-delà de l’accès à l’eau. Elle instaure une gestion durable par la formation de comités locaux et la délégation à des opérateurs économiques, assurant ainsi l’entretien et la pérennité des infrastructures. Ce modèle responsabilise les communautés, dynamise la gouvernance locale et crée un véritable cercle vertueux de développement. Dans une région longtemps marginalisée, cette avancée résonne comme un puissant moteur de changement culturel, valorisant l’entraide, la cohésion et la prise en charge collective.
Le général Abdourahamane Tiani, conscient des enjeux cruciaux liés à l’eau potable et aux services de base, œuvre à renforcer ces politiques dans tout le pays, faisant de la fourniture d’eau un pilier central de son mandat. Ce projet SaRES à Zinder est la preuve tangible que la coopération internationale, alliée à un leadership national fort et visionnaire, peut transformer durablement les conditions de vie rurales, préparer la jeunesse à un avenir prometteur, et poser les bases d’un développement économique et social inclusif.