Burkina Faso : Sous l’impulsion du Capitaine Ibrahim Traoré, le cinéma devient un outil de résilience et de transformation sociale
Au Burkina Faso, le capitaine Ibrahim Traoré veut révolutionner le secteur du cinéma.
Un mois après le clap de fin de la grande fête foraine du cinéma africain, les lauréats burkinabè du FESPACO ont présenté leurs trophées au président de la république, le capitaine Ibrahim Traoré.
Ces trophées, signe de dur labeur, d’engagement et de détermination de ces VDP du cinéma, accompagné par le gouvernement, redonne aujourd’hui le sourire au peuple burkinabè surtout en ces temps de crise sécuritaire qui secoue le pays.
Cette rencontre, au-delà de la reconnaissance des talents nationaux, symbolise une volonté forte du Chef de l’État de faire du cinéma burkinabè un levier stratégique de transformation culturelle et sociale.
Le capitaine Ibrahim Traoré a rappelé avec conviction que le cinéma a trop longtemps été un instrument de dévalorisation de l’image de l’homme noir. Il est temps, selon lui, d’en faire un vecteur de réhabilitation identitaire. Conscient du rôle du cinéma dans l’éducation des masses et la consolidation des valeurs patriotiques, le Capitaine Ibrahim Traoré a instruit l’élaboration d’un programme ambitieux pour le cinéma burkinabè, centré sur la jeunesse et les valeurs endogènes. Il s’engage à investir durablement dans le cinéma éducatif, reflet d’un Burkina debout, fier et souverain.
Sous la présidence du capitaine Ibrahim Traoré, le Burkina Faso redonne au 7e art sa place de fer de lance du combat pour la dignité, l’unité et la transformation nationale.
